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24 novembre 2013

COMMEMORATION DE 1914 - 1918 A GIGNAC LA NERTHE. N'OUBLIONS PAS LES "FUSILLES POUR L'EXEMPLE".

Le 11 novembre 2013, a vu une participation importante des gignacais à la cérémonie commémorative organisée par notre municipalité. Le nouveau "conseil municipal des enfants" fraîchement élu, participait à la cérémonie. Les jeunes conseillers enfants (avec l'aide du livre de Michel Méténier) rappelaient la période 1914 - 1918 sur notre commune. Le maire remémorant l'histoire vécue douloureusement par ceux qui périrent ou survécurent avec d'atroces mutilations de guerre. Une cérémonie où le souvenir de Jaurès plaidant contre la guerre, assassiné juste avant, fut rappelé par Christian Amiraty.

Les "fusillés pour l'exemple" attendent réparation.

En marge de ces cérémonies célébrées dans notre pays, persiste la réparation due aux soldats français fusillés par d'autres soldats français: "les fusillés pour l'exemple". Comme le rappelait le député socialiste Pierre Brizon en 1917 (un des 3 députés qui votèrent contre les crédits de guerre en 1916)  "... des balles françaises assassinent des soldats français". Sur les 668 fusillés pour l'exemple, près de 300 ont été exécutés en 1914. "Dès les premiers jours de la guerre, rappelle l'ARAC, l'armée française est désorganisée. L'intendance ne suit pas. Pour trouver à manger, des soldats quittent leur poste. Ils sont considérés par l'armée comme déserteurs et condamnés à mort. En 1917 à Verdun, des mutineries ont lieu. Les soldats se révoltent contre l'incapacité des chefs. L'état-major est très inquiet. La sévérité des tribunaux militaires est alors très grande. Durant la guerre, il y a eu environ 4500 procès, 2500 condamnés à mort, 668 exécutions et seulement 542 recours gracieux."

Entre 1920 et les années 1930, une quarantaine de fusillés furent réhabilités, il y avait encore des survivants. Aujourd'hui la réhabilitation judiciaire est révolue, elle ne peut être que politique.

Le 27 mars 2009, le président de la Corrèze s'était prononcé pour une réhabilitation collective. Devenu aujourd'hui Président de la République, François Hollande ne parle plus que d'une place réservée aux fusillés au Musée de l'Armée aux Invalides.... La Nouvelle Zélande en 2000, le Canada en 2001, la Grande-Bretagne en 2006 ont réhabilité leurs fusillés, pourquoi pas la France ? 

Alain CROCE

Conseiller municipal Gignac La Nerthe

Conseiller communautaire MPM

La Provence 12 NOV 2013 cérémonie du 11 nov 14 - 18.jpg

16:14 Écrit par poutargue dans Alain a écrit, localité, National | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

21 novembre 2013

GIGNAC LA NERTHE. LE TEMPS DES LOTOS.

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Loto du RCME

Il est revenu le "temps des lotos" de fin et de début d'année sur notre commune de Gignac La Nerthe, comme traditionnellement dans beaucoup d'autres. mais cette année des records de participation semblent d'ores et déjà être battus. De l'association des chasseurs (RCME) à celui des commerçants pulvérisant leur record de l'an dernier, en passant par celui de l'association des cyclistes gignacais et des foot balleurs de l'ASG, l'affluence reste importante, les bénévoles s'activent. Les gagnants partent satisfaits, les autres appréciant un après-midi passé dans la convivialité et la bonne humeur. D'autres lotos sont programmés. Avec plus de 600 personnes, battre le record établi par les commerçants parait plus que difficile... Bravo à tous.

Alain CROCE

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Loto des commerçants

09:34 Écrit par poutargue dans Alain a écrit, localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

GIGNAC. TROPHÉES DES SPORTS, 185 SPORTIFS RECOMPENSES.

La soirée organisée chaque année par notre municipalité pour récompenser les sportifs de notre commune qui se sont illustrés au cours de l'année sportive s'est déroulée le vendredi 15 novembre à l'Espace Pagnol. Prés de 185 sportifs récompensés avec en maître de cérémonie l'adjoint aux sports et premier adjoint Robert de Vita, accompagné par Gilbert Guichard, délégué aux sports et d'autres élus présents, dont le maire et la conseillère générale. La Provence en a rendu compte. Félicitations aux sportifs récompensés mais également à tous les autres, nombreux dans notre commune.

Alain CROCE

La Provence 18 NOV 2013 TROPHEE DES SPORTS.png

09:33 Écrit par poutargue dans Alain a écrit, localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

11 novembre 2013

CUMPM. POUR UNE AUTRE GESTION DE LA PISCINE COMMUNAUTAIRE DE CASSIS.

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INFORMATIONS PISCINE CAP PROVENCE LES GORGUETTES CASSIS.

Bassin sportif de 25 mètres – 8 couloirs Bassin d’apprentissage de 310 m2 de (jeux d’eau, rivière artificielle, cascade) Pataugeoire de 25m2 Solarium Gradins de 206 places Accès pour les personnes à mobilité réduite

== o ==

Lors de la dernière séance de la communauté urbaine de Marseille Provence Métropole, au nom du groupe CRC, je suis intervenu sur le rapport annuel concernant la seule réalisation communautaire de ce type, la piscine des Gorguettes à Cassis. Depuis le choix fait de sa gestion, en délégation de service public (DSP), nous ne cessons d'alerter sur les bilans présentés. Outre le fait que le choix de cette réalisation et son implantation, l'a été par la droite (la CUMPM était alors dirigée par Jean Claude Gaudin), Choix que même le maire UMPM de Cassis, Danielle Milon, elle-même fraîchement élue en 2008, avalisait alors à contre-cœur. Outre le fait que, depuis maintenant 5 années, je ne cesse de proposer LA MEME REALISATION du côté de l'Est Etang de Berre où notamment notre commune de Gignac La Nerthe et celle d'Ensuès se sont portées candidates pour sa future implantation...

Un besoin exprimée par nos populations qui pourrait être le fruit d'une coopération inter-communale.

Ce qui est contestable aujourd'hui, c'est surtout la gestion de cette réalisation communautaire, même si cela échappe au maire de Cassis qui à chacune de mes interventions, ne répond que sur la qualité des infrastructures, ce qui n'est pas en cause.

En tant que membre de la CCSPL (Commission Consultative des Services Publics Locaux) de MPM, lieu où on examine tous les rapports annuels présentés par les délégataires, au vu des conclusions du rapport présenté, j'ai donc fait en séance plénière l'intervention suivante.

Alain CROCE

Conseiller municipal et communautaire MPM

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DSP Piscine Communautaire de Cassis. Intervention d'Alain CROCE

 

Monsieur le Président,

Au-delà du principe d’une gestion privée d’un équipement financé à 100% par le public, que nous n’avons pas approuvé depuis le début, on peut s’interroger sur cette 2° DSP.

Qu’apporte-t-elle de nouveau au regard du bilan des 3 premières années avec ce même gestionnaire ?

Si cet équipement rencontre un succès de fréquentation incontestable, tous les rapports d’activités depuis 2010 ont mis l’accent sur 3 préoccupations récurrentes :

> C’est un échec pour les scolaires : -23% des prévisions

> Encore plus sur les associations et clubs de natation : -75% des prévisions, alors que le bassin sportif représente plus de la moitié des installations (en 3 ans combien de compétitions ont été organisées ?)

> Avec 1 maître nageur, 1 chef de bassin et 1 hôtesse d’accueil en moins le personnel a été une variante d’ajustement financière conséquente : -33% de masse salariale et 11 emplois à temps plein au lieu des 14 prévus au 1° contrat.

Si le nouveau contrat ambitionne une augmentation des fréquentations, s’il prévoit une mise à disposition gratuite de 20H par semaine et deux jours par an pour des manifestations sportives pour une association affiliée à la Fédération Française de Natation, c’est surtout la progression des recettes commerciales en tout genre qui est visée (bassin, activités, espace intérieur et extérieur, cafétéria…).

Cela s’accompagne de tarifs réévalués et d’un personnel arrêté à 12 Emplois à Temps Plein, dont le directeur faisant office aussi d’agent d’accueil, avec une convention collective maison, alors qu’il existe une convention collective nationale du sport plus protectrice pour les personnels qu’on aurait pu imposer dans le cahier des charges.

Ajoutons à cela des charges d’exploitation qui connaissent une surprenante inflation : On passe de 30.902 € à 106.228 € ! Dont 35.000 € pour les frais de siège contre 5.500 € actuellement.

Monsieur le Président, quand MPM a investi plus de 10M€ dans cet équipement c’était pour répondre aux besoins d’activités sportives et ludiques des populations de ce territoire.

Après 3 ans de délégation au privé et à la lecture du contrat de 6 ans à venir on a l’impression que l’équilibre de gestion par la rentabilité pour le délégataire est devenu l’objectif n°1.

Ainsi, est-il prévu d’aller chercher une clientèle dans un rayon de 50 Kms autour de Cassis (Toulon, Aix, Vitrolles... ?). Et l’équilibre financier du contrat permet à la fois une baisse de la subvention de MPM et une rémunération annuelle minimum garantie de 20.000 € + 35.000€ en frais de sièges = 55.000 € pour CARILIS. Sans compter les 11 à 12.000 € de frais divers comme d’éventuels honoraires …

Nous maintenons notre vote Contre cette DSP.

09 novembre 2013

LA CORBEILLE (PERCÉE) DU PREMIER MINISTRE A MARSEILLE.

Réaction de Pierre Dharréville (extraits)

 

Marseille, le 8 novembre 2013

Parmi les annonces, l’accent est mis sur le financement d’une étude pour la prolongation du métro et tramway, notamment dans les quartiers Nord. Lorsque le gouvernement veut répondre aux attentes, il vient piocher dans les propositions des communistes. Tant mieux. Des milliers de pétitions ont été déposées en ce sens, c’est une première victoire de la population alors qu’on nous a toujours répondu que c’était impossible... Mais nous ne nous contenterons pas d’une étude. Il faut accélérer, il faut des engagements, il y a urgence.

Concernant la métropole, l’annonce d’un décret incorporant des maires à la commission de préfiguration ne suffit pas à changer la loi qui institue partout dans le pays des métropoles autoritaires qui vont rétrécir les possibilités d’intervention des citoyennes et des citoyens. Nous appelons les parlementaires à se prononcer contre cette loi qui abîme la démocratie et nous exigeons que toute modification des cadres démocratiques soit soumise à référendum. Tout se passe comme s'il fallait confier les choix à un petit nombre entouré de quelques experts choisis par eux. La politique doit être déterminée par le peuple !

 

Pierre Dharréville
Secrétaire départemental du PCF 13

Membre du comité exécutif national du PCF

 

Les 3 milliards introuvables de Jean-Marc Ayrault

 

 

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Les chroniques marseillaises de Christophe Deroubaix. La venue de Jean-Marc Ayrault était prévue de longue date. Elle s’inscrit dans la suite logique du comité interministériel de septembre 2012 et du vote du projet de loi de la métropole. Il s’agissait en quelque sorte de garnir la corbeille d’un mariage que certains (109 des 119 maires du département) jugent « forcé ». Qu’a annoncé le premier ministre ?

  • Gare, flics et crèches : le détail des mesures

Les transports représentent le dossier le plus lourd dans la sacoche du premier ministre. Il y a la nouvelle gare Saint-Charles souterraine et traversante d’où son coût important (2,5 milliards). Après ces lourds travaux, la gare ne sera plus un cul-de-sac. Les trains pourront tracer directement leur chemin vers l’est du département puis de la région. Le cadencement pourra ainsi être renforcé pour les TER au rythme de quatre par heure contre deux actuellement. On ne sera pas encore dans les fréquences du RER francilien mais ce sera déjà mieux pour les usagers.

Jean-Marc Ayrault a également annoncé le doublement partiel de la ligne ferroviaire Marseille-Aix et apporté son soutien au projet de prolongation du métro dans les quartiers nord mais aussi sud-est de la ville.

Le 7 octobre dernier, avait été signé le PPP (partenariat public-privé) qui permettra enfin de boucler le chantier de la rocade dite L2 permettant la jonction des autoroutes A7 et A 50.

Dans la « hotte » du premier ministre, il restait encore un peu de place pour la sécurité (80 policiers supplémentaires), l’emploi (53 agents de Pôle emploi supplémentaires, 500 emplois d’avenir et de nouvelles permanences Pôle emploi dans les centres sociaux des quartiers prioritaires), l’éducation (8 nouvelles classes en petite section de maternelle, dont 5 dans les quartiers nord, pour favoriser la scolarisation des moins de trois ans et 1000 places de crèches supplémentaires).

Enfin, le chef du gouvernement a décidé de revaloriser de la dotation de la métropole (lorsque celle-ci sera créée) : 50 millions d’euros. Ce qui équivaut à la réalisation d’un kilomètre de tramway.

  • Nuance : l’Etat soutient mais l’Etat ne finance pas tout

Ce bas-monde est ainsi fait que l’on peut jauger de l’engagement d’un acteur majeur (et l’Etat en est encore un) non seulement à ses promesses (elles engagent ceux qui les formulent, contrairement à la formule cynique de Pasqua) mais à ses financements. Le gouvernement parle d’un « plan à trois milliards », ce que reprennent un certain nombre d’articles depuis ce matin. Mais l’Etat n’en apporte qu’une partie. Sur la gare Saint-Charles, le gouvernement promet 800 millions sur les 2,5 milliards pour un projet dont l’horizon est, il faut le rappeler, 2030. Le premier ministre a également évoqué l’affectation de 370 millions pour les projets d’infrastructures ferroviaires, routières et d’accès au port. Soit 1,23 milliards de crédits d’Etat. Qui va financer le reste ? Le mystère reste entier.

Ainsi, de la prolongation du métro. Jean-Marc Ayrault y est favorable mais laisse le soin aux collectivités de se débrouiller. Sachant que l’aspect financier (un kilomètre de métro coûte 100 millions) a sans cesse servi à repousser la réalisation de ce projet de bon sens. Idem pour la ligne Marseille-Aéroport : l’Etat va participer aux études. Pas plus, pour l’instant.

Quant au milliard et demi du plan d’investissements d’avenir, aucune précision n’a été apportée sur les modalités de son utilisation. Comme disait la grand-mère de Martine Aubry : « Quand c’est flou… »

La partie immédiatement sonnante et trébuchante se monte à exactement 37 millions d’euros. Il s’agit d’un plan d’urgence pour les équipements publics (5 millions), les places en crèche (3,8), la santé (3,5), la cohésion sociale (2) et les équipements sportifs (1,4).

  • Les réactions

Sans surprises, elles sont diverses. Patrick Mennucci, le candidat socialiste à la mairie de Marseille, y voit « le plus grand effort jamais effectué pour une ville française ». Rentrée dans le rang après avoir fait huer le nom du premier ministre au soir du second tour des primaires, Samia Ghali a estimé : « Aujourd’hui, Marseille et les Marseillais ont gagné l’aide de l’Etat, c’est un juste retour des choses ».

Jean-Claude Gaudin joue l’équilibriste. S’il s’agit de « bonnes nouvelles pour les Marseillais », le maire sortant y discerne « la reconnaissance et la poursuite de projets que je porte, depuis longtemps, avec ma municipalité » (sic). La visite du premier ministre n’en était pas moins « une tournée électorale destinée à soutenir le candidat socialiste ». Et Gaudin de jouer les « monsieur Plus » : il aurait voulu que le chef du gouvernement s’attaque à « des problèmes plus immédiats » : « l’avenir de la SNCM (…) avec ses 3 000 emplois directs ou induits, la participation de l’Etat au financement du Bataillon des Marins-Pompiers que la Ville assume pour 70 millions d’euros, le fonctionnement de l’Opéra qu’avec 400 000 euros l’Etat aide misérablement (…), le Boulevard Urbain Sud dont toute la population du Sud et de l’Est de notre Ville connaît l’absolue nécessité ou encore le Stade Vélodrome pour lequel nous attendons toujours le versement des 28 millions d’euros promis par l’Etat" ainsi que "déblocage du budget d’Euroméditerranée ».

  le 8 Novembre 2013

La réaction de Jean-Marc Coppola

 

 

Marseille, le 8 novembre 2013

Jean-Marc Ayrault aime-t-il le pipeau ?

Le Premier ministre est venu à Marseille présenter son catalogue de Noël. Cette avalanche de propositions nécessite un tri entre les projets déjà en cours et le reste. Si le coût total des mesures annoncées s’élève à 3 milliards, il n’en est rien de la réelle participation de l’Etat. C’est une nouvelle fois les collectivités locales qui risquent de faire les frais de ce subtil habillage de l’austérité gouvernementale.

Pour autant, je suis particulièrement fier et satisfait que le Premier ministre reprenne à son compte le principe de prolongement du métro et du tramway. C’est une belle victoire de la mobilisation populaire enclenchée par la campagne de pétition lancée par les communistes des quartiers Nord et signée par des milliers de citoyens. Toutefois, seules des études sont évoquées et aucun engagement financier concret de la part de l’Etat.

Quant au projet pharaonique et extrêmement coûteux de réaménagement de la gare Saint-Charles, il est difficilement compréhensible qu’il soit traité comme une priorité à l’heure où les Marseillaises et les Marseillais attendent des politiques ambitieuses en termes d’emploi ou de logement.

De plus, le chef du gouvernement s’arc-boute la métropole Aix-Marseille à laquelle je reste fermement opposée car elle éloignera inévitablement les citoyens des lieux de décision et détériorera un peu plus l’image d’une démocratie décidément bien malade. Comment le gouvernement et ses représentants locaux peuvent-ils encore nous faire croire que cette institution de plus sera le remède miracle aux difficultés des populations du territoire ? S’ils cherchent réellement à résoudre les problèmes de transports, de développement économique, de sécurité, qu’ils s’adressent à celles et ceux qui les connaissent : les syndicats, associations, collectifs, les hommes et les femmes des quartiers.

A quoi aura finalement servi cette visite ministérielle pour les salariés de la SNCM, des Moulins Maurel, de Fralib ou encore les dizaines de milliers de jeunes à la recherche d’un travail ou d’une formation ? A pas grand-chose, pour rester optimiste.

Jean-Marc Coppola
Vice-Président de la Région délégué aux investissements régionaux
Chef de file du Front de gauche pour les municipales à Marseille

22:20 Écrit par poutargue dans localité, National | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |