07 septembre 2013
METROPOLE. MANIFESTATION A MARTIGUES POUR EXIGER UN REFERENDUM.
10:51 Écrit par poutargue dans localité, National | Commentaires (1) | Lien permanent | Facebook |
05 septembre 2013
Syrie: "Ne cédons pas à la tentation de la guerre" réaffirme André Chassaigne
"Une intervention militaire n'apportera pas de solution (...) et rendrait au contraire plus difficile une solution politique", a estimé le député PCF du Puy-de-Dôme, ajoutant que "même s'il existait des preuves irréfutables (de l'utilisation d'armes chimiques par Bachar al-Assad, ndlr), ça ne doit pas mécaniquement justifier une action militaire". Il a jugé qu'une action de la France en Syrie sans le mandat des Nations-Unies serait d'une "extrême gravité" et "ne grandirait pas la France". "La France ne doit pas s'inscrire dans une position illégale. On reste très attaché au rôle de l'ONU", a-t-il affirmé, expliquant que "s'aligner derrière les Etats-Unis diminuerait le poids de la France et son importance diplomatique".
L'élu communiste estime que seule "une solution politique" qui associerait "autour d'une table" tous les acteurs permettrait une sortie de crise. André Chassaigne s'est également déclaré en faveur d'un vote du Parlement sur une éventuelle intervention militaire de la France, avant celui du Congrès américain prévu pour le 9 septembre. "Nous ne sommes pas des marionnettes", a souligné le député.
Présent lors de la réunion d'information des parlementaires à Matignon lundi, il s'est dit "dubitatif" sur les preuves présentées par le Premier ministre, prévenant que la même démonstration avait "déjà été faite avec l'Irak en 2003". "Même si nous n'avons aucune confiance en al-Assad: il est capable, d'ailleurs c'est sans doute lui, d'utiliser des armes chimiques", a-t-il ajouté.
Quel argent pour la guerre ?
C'est une question qui est posée par nombre de nos concitoyens défavorables (3 français sur 4) à une nouvelle guerre. Comment justifier une telle intervention qui est non seulement insensée politiquement et ne réglera en aucune façon ni la situation des populations en Syrie, ni celle d'une région à haute tension ? Ce qui risque d'éloigner la paix nécessaire pour des décennies au Moyen Orient. Mais de plus, alors que le budget militaire est lui aussi en régression dans le cadre de la baisse des dépenses publiques gouvernementales, où va-t-on prendre l'argent (des millions par jour comme on l'a vu par ailleurs) pour financer une nouvelle "expédition punitive" , alors que celui-ci manque cruellement pour l'éducation, l'emploi public, la formation, la culture, le logement, etc ?
Alain CROCE
10:24 Écrit par poutargue dans Alain a écrit, International, National | Commentaires (0) | Lien permanent | Facebook |
02 septembre 2013
INTERNATIONAL. SYRIE, UN DEBAT NATIONAL S'IMPOSE.
Syrie. Pierre Laurent réclame « Un débat national »
Pierre Laurent, numéro un du PCF, a demandé au Président François Hollande un débat parlementaire sur la situation en Syrie. Le Sénateur et Secrétaire national a, dans une lettre au Chef de l'État, souhaité qu'une information des élus et une discussion sur cette crise soient inscrites en priorité à l'ordre du jour de la session extraordinaire qui commence le 10 septembre, a précisé Olivier Dartigolles, porte-parole du Parti.
Dans ce courrier, Pierre Laurent exprime la « vive préoccupation » des communistes face aux développements de la situation en Syrie.
Les failles de l'Empire, l'édito-web de Patrick Apel-Muller (Huma)
Aucun des dirigeants des grandes puissances occidentales n'en doutait. La Grande-Bretagne comme lors des précédentes campagnes serait au premier rang des frappes en Syrie. Son Premier ministre, en avait même négligé les avertissements qui montaient des rangs des conservateurs même.
Après le vote aux Communes, à moins de violer les traditions démocratiques de son pays comme il s'apprêtait à le faire de la légalité internationale, David Cameron ne peut passer outre. Barack Obama est donc confronté à un cruel dilemme : revenir en arrière et remettre au premier plan les solutions politiques au conflit syrien ; refuser de se déjuger et, en attaquant quasiment seul, replacer les Etats-Unis comme l'objet d'une hostilité générale dans le monde. Ce serait l'échec de sa stratégie internationale entamée depuis six ans.
Les difficultés ne sont pas moindres pour François Hollande. L'épisode Snowden et l'interdiction de survol signifiée à l'avion du président bolivien avait témoigné d'un alignement peu glorieux sur les indications tordues de la CIA. L'acceptation du rôle d'auxiliaire des forces étasuniennes attenterait fortement à l'image de la France et à sa crédibilité internationale.
Le vote britannique – aujourd'hui Albion n'a plus rien de perfide – oblige à sortir de la violence sommaire des bombardements pour construire une réponse politique et humanitaire à la dramatique situation syrienne. S'il est prouvé sans conteste que Damas a ordonné les bombardements aux gaz toxiques, ce crime devra trouver une réponse à l'ONU. Elle ne peut être au prix d'un embrasement général de la région et de centaines de milliers de victimes supplémentaires. Les négociations de Genève II doivent être relancées sur des bases qui permettent de renouer des partenariats avec les Russes et les Chinois.
Face à Bachar Al Assad, les grandes puissances doivent isoler les troupes d'Al Quaïda et mettre en avant les forces démocratiques. Elles existent. Les foyers de tension régionaux – au premier rang desquels l'insupportable sort fait au peuple palestinien – doivent mobiliser les chancelleries pour une action résolue. Il est temps de sortir des postures morales à géométrie variable (1). Le chantier est immense. Il peut éviter la multiplication des charniers.
(1) On se souviendra utilement qu'en 1983, lorsque les troupes de Saddam Hussein ont utilisé les gaz toxiques contre les soldats iraniens, le gouvernement français qui comptait alors des ministres d'aujourd'hui est resté discret. Comme celui de 1988 qui réunissait des ténors de la droite n'a rien dit quand Ali le Chimique massacrait les Kurdes...
08:57 Écrit par poutargue dans International, National | Commentaires (0) | Lien permanent | Facebook |
01 septembre 2013
INFORMATIONS SUR LES MODIFICATIONS DES BUS DE L'ETANG
A partir du 2 septembre des modifications importantes concernant le réseau des Bus de l'Etang vont être mises en place. Avec de nouvelles couleurs, les bus sont identifiables de loin, les numérations changent (ainsi désormais ce sont les lignes 60 et 61 qui déservent Gignac avec en complémentarité une ligne Car 13 qui traverse Gignac. Pour la première fois, le transport évolue en complémentarité. Des modifications concernent également les transports scolaires qui à priori doivent améliorer le service rendu.
Plusieurs points restent à régler, même si nous avons travaillé tout l'été pour les résoudre. Ils découlent d'autorisations à obtenir selon la gestion des voies, soit par le conseil général, soit par MPM pour les modifications d'implantation des arrêts de bus. C'est ainsi que des arrêts provisoires ont été mis en place en attendant les travaux d'aménagement définitifs.
Il reste deux points à traiter avec le CG et MPM:
- l'arrêt des Fortunés (sens St Victoret - Gignac). Le bus marque l'arrêt de l'autre côté de la voie, devant les services techniques et repart sur la gauche vers Gignac. Nous avons demandé depuis longtemps un giratoire ou un aménagement urbain permettant un arrêt en toute sécurité pour les personnes et les bus. Cette voie très fréquentée reste dangereuse pour la traverser... Dans l'immédiat l'arrêt est maintenu dans le sens inverse dans l'attente d'une solution du CG.
- L'arrêt du Capeau. Il faudrait supprimer l'interdiction de tourner à droite pour pouvoir rentrer dans Gignac et en même temps aménager l'accotement du virage.Dans l'impossibilité d'avoir eu une étude pendant l'été, ce projet va être examiné prochainement. Dans cette attente, le bus ne pouvant rentrer, ni effectuer un demi-tour dans les habitations, provisoirement l'arrêt est déplacé (voir info bus, lien ci-joint). Ligne 60 - Terminus changé Capeau - République.pdf
Plusieurs usagers des Bus m'ont sollicité sur diverses questions qui ont pratiquement toutes été résolues par la direction du SMITEEB (Syndicat Mixte des Transports de l'Est de l'Etang de Berre). En cas de problème rencontré, laisser un message à mon intention à l'accueil de la mairie ou sur le site de la ville. En tout cas, le transport évolue, et Gignac en bénéficie. Le service d'accueil des Bus pour votre information est désormais ouvert le samedi, une ligne le dimanche en direction de Plan de Campagne à partir de Marignane est mise en place. En attendant le futur BHNS (bus à haut niveau de service) qui est en projet actuellement.
Alain CROCE
Délégué au SMITEEB (Bus de l'Etang)
08:31 Écrit par poutargue dans Infos côte bleue, localité | Commentaires (1) | Lien permanent | Facebook |
31 août 2013
REPRISE A GIGNAC : UN WEEK END FESTIF DE LA SAINT LOUIS REUSSI.
Notre commune vient de renouer le week-end dernier avec une ancienne tradition gignacaise abandonnée qui était de fêter la Saint Louis. Le public nombreux a apprécié cette initiative de notre municipalité à laquelle s'est rajoutée le samedi soir la non moins traditionnelle sardinade transformée cette année par l'OCLG (Office de la Culture et des Loisirs) en une mouclade frites dont le cuisinier qui officiait, notre ami Jeannot Pécoraro, accompagné par l'équipe des bénévoles, effectuait une première. Ce fut réussi là encore, de nombreux convives attablés sur le parking du stade Carnus, la Bande à Jeannot et ses chanteuses assurant l'animation.
INTER - VILLAGE. Une première là aussi, une reprise des jeux "façon Intervilles" avec d'ailleurs aux manettes notre historien local qui a été une douzaine d'années avec l'équipe Intervilles du jeu télévisuel, Michel Méténier. Il était accompagné par Christophe Favier, notre facétieux et talentueux comédien quincaillier. On a retrouvé le temps d'une soirée les Léon Zitrone et Guy Lux... gignacais !
En tous cas une soirée explosive avec plein de défis lancés aux équipes de Gignac et de Laure qui s'affrontaient pour l'occasion. Jeux d'adresse, exploit sportifs à terre et sur l'eau, baby foot humain, in fine avant l'épreuve ultime deux concurrents répondaient aux questions d'histoire liée à Gignac avec beaucoup de brio des deux côtés, bien entendu concoctées par notre ami Michel, également professeur d'histoire au collège Petit Prince. Une bonne révision pour sa rentrée prochaine...
Le public nombreux a répondu présent, les tribunes se sont avérées trop petites, même avec un rajout de bancs. La soirée se ponctuant par une merguez partie conviviale offerte par la municipalité.
Et c'est sous un tonnerre d'applaudissements que Jeannot Pécoraro (encore lui), capitaine de Gignac a reçu du maire Christian Amiraty le "bouclier de Gignac", peint magnifiquement aux armoiries historiques de notre ville par notre artiste peintre local Mme Gauthier.
Le capitaine malheureux de Laure, dont l'équipe n'a pas démérité, Aurélien Garcia, pouvait lancer un nouveau défi à Jeannot, "nous gagnerons l'année prochaine". Réponse de Jeannot, "OK, mais comme l'OM en Europe, on sera à jamais les premiers !" Sur ces mots, son équipe lui assurera un bain habillé dans le bassin démontable, même si ce n'était pas le Vieux Port.
Félicitations à tous, bénévoles, employés municipaux, animateurs et à notre élu Robert De Vita, artisan de cette première gignacaise totalement réussie.
AIOLI PLACE DE LA MAIRIE. Le lundi, la fête s'est prolongée avec un aïoli place de la mairie, là encore une ancienne tradition locale. Prés de 200 convives ont apprécié l'initiative et l'aïoli préparé par Francine Gibert, et l'équipe des employés municipaux, l'après-midi se poursuivant avec musique et danse.
Alain CROCE
La Provence sur ces évènements:
09:01 Écrit par poutargue dans Alain a écrit, localité | Commentaires (0) | Lien permanent | Facebook |