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02 octobre 2013

GIGNAC. INAUGURATION DU PARCOURS DE SANTE.

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Affluence record en ce samedi de septembre pour l'inauguration du parcours de santé et de l'aire de pique nique, avec un jeu de boules attenant. Une manifestation ouverte de manière originale et sportive avec prés de 150 cyclistes venus tester ce nouveau parcours, maire et adjointe à l'urbanisme environnemental en tête.

Plus de 300 personnes sont venues découvrir une réalisation dans un espace magnifique sur les collines de la Nerthe, où nous venons d'implanter plusieurs dizaines d'oliviers qui font de ce parcours de quelques kilomètres oùu tout au long, on retrouve diverses activités un complément au complexe sportif à proximité et au nouveau centre aéré qui va bientôt voir le jour. Une réalisation qui fait la fierté de notre majorité et de Sylvie Ferrarin, adjointe à l'urbanisme environnemental qui rappelle que c'était un des points du programme municipal de 2008 porté par les élus Gignac J'y Vis (communistes et société civile).

En tout cas, après avoir coupé le ruban tricolore, Christian Amiraty, maire de la commune, enfourchait son vélo suivi pour l'occasion par "maître" Christophe Favier, notre quincailler acteur à ses heures, qui avait revêtu la toge d'avocat afin de plaider "le mieux vivre à Gignac".

Les quelques 300 convives étaient invités à un pique nique géant sur l'aire conçue à cet effet et qui n'en doutons pas, fera le bonheur de petits et grands.

Alain CROCE

Conseiller municipal

Conseiller communautaire MPM

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LA PROVENCE

La Provence 25 septembre 2013 - Parcours de santé.png


07:43 Écrit par poutargue dans Alain a écrit, localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

01 octobre 2013

GIGNAC. UN PATRIMOINE AGRICOLE A VALORISER.

Une belle idée que celle d'exposer au nouveau square du centre ville, dans la vieille bâtisse dont les murs ont été décroûtés et restaurés, des outils anciens ou d'anciennes machines agricoles, des tableaux du travail au champ. Les visiteurs ont apprécié cette première initiative sur ce square. 

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Une conférence suivait avec l'intarissable Michel Méténier qui a captivé l'auditoire sur l'origine du terme... patrimoine. Toute une histoire narrée de main de maître, c'est le cas de le dire par le professeur d'histoire - géo du collège Petit Prince, historien de l'histoire de notre commune et bien d'autres, dont Marseille.

A. C

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La Provence 28 sept 2013 PATRIMOINE.png

16:35 Écrit par poutargue dans localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

29 septembre 2013

ENVIRONNEMENT. LES CONSEQUENCES DU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE.

Les effets concrets du réchauffement climatique en France

 

Concrètement, ça fait quoi le réchauffement climatique

 

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La forêt des Landes après le passage de la tempête Klaus en 2009.

Le réchauffement climatique, concrètement, 
qu’est-ce que c’est ? Quels en seront les effets 
près de chez nous? Comment, surtout, s’y préparer? Voilà, vite résumées, les questions auxquelles ont cherché à répondre le climatologue Hervé Le Treut et son équipe de 163 chercheurs.

Dans une étude rendue en septembre intitulée « Prévoir pour réagir » , le directeur de l’Institut Pierre-Simon-Laplace s’est penché sur un cas précis: celui de l’Aquitaine. Vignes, forêts, littorales, agriculture: «C’est une région dont la configuration et les ressources dépendent intensément des conditions climatiques», explique le scientifique, par ailleurs corédacteur de la deuxième partie du 5e rapport d’évaluation du GIEC, attendue en mars prochain et qui porte sur les impacts du réchauffement. «Nous sommes partis d’un fait: les effets du changement climatiques seront différés. Cela implique de réduire dès à présent les émissions de CO2. Mais cela implique également 
de s’y préparer.»

270 km de côtes touchées

Ceux attendus en Aquitaine ont de quoi faire réfléchir. L’élévation du niveau de la mer, jusqu’alors estimé de 0,5 à 1 mètre à l’horizon 2100, rendrait 
ses 270 km de côtes particulièrement vulnérables. 
En montagne, une élévation de température pourrait induire une réduction de trois à deux mois de la saison enneigée à 1500 mètres d’altitude. Les vendanges pourraient être avancées en juillet, quand, en vingt ans, la date de maturité de la vigne a déjà avancé de quinze jours en moyenne. Les forêts, enfin, qui soutiennent 
une filière de 30000 salariés, restent également sensibles. «Notre conclusion, reprend Hervé Le Treut, 
est qu’il existe un tas de nœuds de vulnérabilité. 
Les politiques comme la société civile doivent s’emparer de cet enjeu pour mieux s’y préparer.»

  • A consulter:

les Impacts 
du changement climatique en Aquitaine, 25 euros, 
Presse universitaires de Bordeaux.

  • A lire aussi:

Le GIEC prêt à accoucher de son 5ème rapport

06:58 Écrit par poutargue dans International, localité, National | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

23 septembre 2013

APRES LES ELECTIONS EN ALLEMAGNE... L'EDITO DE L'HUMANITE.

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Edito: l’impasse Merkel

Par Patrick Apel-Muller

 

 

La chancelière va poursuivre une politique qui étouffe la croissance et généralise la concurrence entre salariés, estime Patrick Apel-Muller dans l'éditorial de l'Humanité de ce lundi.

Ce n’est pas une bonne nouvelle. La reconduction d’Angela Merkel comme chancelière va encore aggraver les maux dont souffre l’Union européenne. À la tête de la première puissance économique du continent, elle a consacré le règne des marchés financiers, brisé les solidarités éventuelles pour leur substituer l’égoïsme et le mépris du plus fort à l’égard de l’affaibli, alimenté les regains nationalistes et les replis identitaires. Si elle est aujourd'hui la première dirigeante européenne à se faire réélire depuis la crise de 2008, c’est qu’elle a fait croire à son peuple qu’elle lui avait évité le pire et qu’elle le protégeait des convoitises des paresseux qui se massent aux frontières sud de l’Allemagne. Le résultat de son parti, la CDU, lui permet d’envisager d’amplifier une politique qui étouffe la croissance et généralise la concurrence entre salariés de l’UE et du monde. Ce n’est pas non plus une bonne nouvelle pour les salariés allemands dont la situation se détériore et qui comptent une des plus fortes proportions de bas salaires d’Europe. C’est cela, le paradoxe allemand: des banques et des multinationales prospères font face à une population de plus en plus privée de droits sociaux.

Le modèle allemand est une imposture si on le juge du point de vue de son peuple. C’est d’ailleurs ce qui explique le très mauvais score des sociaux-démocrates. Ils sont à l’origine de la casse des garanties sociales permises par les réformes Hartz qui ont tant fait rêver Nicolas Sarkozy. Ils tentent bien aujourd'hui de réclamer quelques pansements sociaux mais leur passé plaide contre eux tout autant que leur soumission aux règles économiques inspirées par les marchés financiers. Leur espace s’est réduit à la définition du système formulée par Angela Merkel, la «Marktkonform Demokratie», la démocratie conforme au marché, qui exclut tout pas de côté, toute rébellion à l’égard de la loi du capital. La pensée unique comme horizon. Pacte fiscal, règle d’or et désormais traité transatlantique sont les deux piliers de cette dévaluation démocratique. Le SPD avait d’ailleurs renoncé à un réel changement de cap dès lors qu’il refusait toute alliance avec Die Linke, la gauche combative, sortie confortée hier des urnes. Si les conservateurs, privés semble-t-il de leur allié libéral, vont devoir gouverner dans le cadre d’une grande coalition, l’exercice ne leur fait pas vraiment peur ; leur précédente expérience, il y a quatre ans, a laminé le SPD, incapable de se distinguer.

Ce n’est décidément pas une bonne nouvelle. Pour les Français non plus. Renforcée par ce scrutin, la chancelière restera inflexible si les peuples ne s’en mêlent pas. François Hollande n’avait-il pas très vite renoncé à ses promesses électorales d’une réorientation de la politique européenne en faveur de la croissance et de l’emploi? Élu en juin 2012, il avait battu en retraite avant le mois de juillet de la même année! Les solidarités et la communauté d’actions entre syndicalistes français et allemands, entre salariés des deux rives du Rhin, entre progressistes des deux pays sont devenues une affaire de salut public. Les financiers de Francfort et de Paris jouent depuis longtemps à saute-frontière pour mettre les deux pays en coupe réglée.

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10:04 Écrit par poutargue dans International | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

16 septembre 2013

GARE DE PAS DES LANCIERS. INTERVIEW ALAIN CROCE SUR MARSACTU.

 

"Il est hors de question que la gare de Pas des Lanciers ferme"

Au coeur de la plaine de Vitrolles, tout près de Gignac-la-Nerthe, se trouve la gare de Pas des lanciers, très utilisée par les habitants des communes limitrophes. Or, la SNCF prévoit de transformer cette gare en halte ferroviaire sans guichet. Le conseiller communautaire (PCF), Alain Croce, qui se bat auprès des usagers pour empêcher ce projet.


Le talk métropole Marsactu : Alain Croce... par marsactu

http://www.marsactu.fr/politique/il-est-hors-de-question-...

Souvent les communes qui occupent la longue plaine orientale de l'étang de Berre sont considérées comme le coeur géographique - et demain économique - de la future métropole. En son centre, on trouve la gare de Pas des Lanciers, utilisée tous les jours par 2000 usagers "pendulaires" des communes environnantes, Vitrolles, Saint-Victoret et Gignac-la-Nerthe. Or, la SNCF a annoncé cette année qu'elle comptait transformer cette gare en une halte ferroviaire dépourvue de guichet. Un projet qui a suscité la colère de voyageurs réguliers de la ligne qui se sont constitués en comité d'usagers.

Plusieurs élus du secteur les ont rejoints dans leur combat, au premier rang desquels, le conseiller municipal et communautaire (PCF) de Gignac-la-Nerthe, Alain Croce. Cet ancien syndicaliste à la Poste, rompu aux luttes collectives, a donc accompagné ce combat, notamment en l'évoquant devant le conseil communautaire, en juin dernier. Sur le plateau de Marsactu, il détaille les étapes de cette mobilisation. "C'est le syndicat CGT des cheminots qui a lancé l'alerte en faisant signer une pétition sur les quais de la gare. Ils avaient invité des élus et je me suis rendu sur place avec Jean-Marc Coppola [vice-président de la région] et le maire de Saint-Victoret. En quelques heures, 400 usagers ont signé cette pétition. Il y tiennent à leur guichet".

Un peu plus tard, un comité de ligne s'est tenu en mairie de Vitrolles en présence des responsables de la région, en charge des TER et de la SNCF. "Dans les plans de la SNCF, bizarrement, n'apparaissait plus la gare de Pas des Lanciers. Alors nous sommes intervenus pour dire qu'il était hors de question que cette gare ferme". D'autant plus qu'en tant que membre du syndicat mixte des transports de l'est de l'étang de Berre, Alain Croce déclare qu'il a tout fait pour que les lignes de bus desservent cette gare.

En réponse, le directeur de la SNCF a décidé de repousser à la fin de l'année l'application de cette décision, prévue initialement en juillet, pour laisser un peu de place à concertation. "Je l'ai pris au mot et je l'ai invité à participer à une réunion à Gignac en septembre". Sauf qu'entre temps, la direction de la SNCF a rencontré les usagers en réaffirmant sa volonté de fermer le guichet. La prochaine réunion risque d'être animée.

Par Benoît Gilles, le 15 septembre 2013

15:08 Écrit par poutargue dans Infos côte bleue, localité | Commentaires (2) | Lien permanent |  Facebook |