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05 octobre 2012

GIGNAC. CONCERTATION SUR L'AMENAGEMENT DE L'AVENUE DE LA POUSARAQUE

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Il s'agit sans doute du plus important chantier depuis des décennies qui va s'engager dans les prochains mois sur Gignac La Nerthe. Le lien central qui relie le hameau de Laure au centre ville de Gignac La Nerthe. Un chantier qui va durer plusieurs mois. D'une longueur de 1,2 kilomètres en y incluant l'avenue Yann Palach jusqu'au rond point de la Viguière d'un côté, la maison carrée de Laure de l'autre, il représente un des projets phare en voirie, avec la participation financière importante de Marseille Provence Métropole. Au total un investissement de près de 4 millions d'euros pour requalifier totalement cette voie anciennement départementale, puis communautaire en voie urbaine.

Ainsi il est prévu d'aménager cette voie avec pour commencer, un important travail sur le pluvial afin de récupérer les fossés de chaque côté, d'enterrer totalement tout le réseau électrique en supprimant tout le cablage aérien, de faire de même pour le réseau France Télécom, de tirer les gaines qui permettront l'arrivée de la fibre optique. Il y aura donc un trottoir de chaque côté, deux pistes cyclables, des arbres implantés le long du trajet, ainsi que des espaces vert aménagés avec des bancs,  (proposés à la réunion publique). Conséquence de l'aménagement, la réduction d'une vitesse jugée par tous excessive, le développement de modes doux, le tout marquant une promenade dont on avait, au moment de l'épisode neigeux, apprécié les rencontres piétonnes.

Le stationnement des bus au Pré Fleuri, sera déplacé à l'entrée de la ville avec des travaux complémentaires à cet effet. Un arrêt supplémentaire sera mis en place au feu face à la poste.

Bref, un véritable projet d'embellisement de la voie, de sécurisation, d'encouragement aux modes doux afin de favoriser le mieux vivre ensemble.

Alain CROCE

 

Voir article dans La Marseillaise du 4 octobre 2012

La Marseillaise 4 oct 2012 Pousaraque.pdf

 

10:38 Écrit par poutargue dans localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

03 octobre 2012

Après le jugement en référé ... La Marseillaise du 2 octobre 2012.

GIGNAC LA NERTHE

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La droite locale attaque la municipalité de gauche. Un jugement en référé le confirme. Christian Amiraty reste serein.

"On veut nous empêcher d'aller au bout"

L'interview du maire ainsi que la déclaration du président du groupe Gignac J'y Vis Alain Croce et de Marcos Gonzalez, secrétaire de section du PCF.

Sur le lien:

La Marseillaise du 2 oct 2012.doc

20:41 Écrit par poutargue dans localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

29 septembre 2012

GIGNAC LA NERTHE LE CONSEIL MUNICIPAL DU 27 SEPTEMBRE REPORTE SUITE A UNE DECISION DU TRIBUNAL ADMINISTRATIF SAISI PAR UN EX-ELU DE DROITE. LE CONSEIL D’ETAT EN APPEL.

k7297354.jpgDans l’après-midi, quelques heures avant le conseil municipal prévu, avec la présence des nouveaux élu-e-s, la décision du T.A (Tribunal Administratif) de Marseille est tombée. Dans le document de 9 pages, dans ses conclusions, il est enjoint au maire « de reporter la séance du conseil municipal ».

C’est une décision de justice, elle a donc été respectée. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’une prochaine séance du conseil municipal ne pourra se tenir. Où est la nuance ?

Elle réside dans le fait effectivement surprenant qu’en l’occurrence le juge saisi en référé a jugé ainsi la chose, arguant sur deux démissions (une de l’opposition Gardons Le Cap, une de la liste socialiste) qui seraient effectives, malgré l’intention manifeste et écrite des deux personnes concernées de siéger au conseil municipal.

Alors que le sous préfet avait reconnu lui, irrecevable, notamment une démission déposée le 31 juillet 2012 datée du 31 mars … 2008. Celle de « l’élue » de droite de la liste Gardons Le Cap.

On peut s’interroger sur le fait que ces «démocrates » de Gardons Le Cap, déposent en lieu et place de l’intéressée, une lettre de « démission » datant de… 2008. D’autant que la personne en question n’était pas élue et qu’elle manifeste par écrit son intention de siéger. Quelles sont donc ces pratiques de gens qui lavent plus blanc, qui s’érigent en donneurs de leçon sur la démocratie, et qui ont comme pratique de faire signer d’avance des lettres de démission à ses colistiers ? Comment une personne comme c’est le cas, qui était placée en 26 ème position peut- elle démissionner alors qu’il faut aller au 25 ème colistier pour trouver le nom de celui qui a accepté de devenir le 6 ème et dernier élu de l’opposition ? Preuve qu’il n’y avait pas beaucoup de volontaires pour siéger sur les bancs de l’opposition… Mais alors pourquoi faire signer des démissions par anticipation à des personnes non élues ?

Comment peut-on considérer que cette « démission » d’une position que l’on n’a pas, de surcroit ancienne de plus de 4 années, serait valable aux yeux de la loi ?

Il en est de même sur un certain nombre de points qu’il appartient à la justice de trancher, comme le retrait de la deuxième démission, mais dont il est inutile de développer ici, sans que celle-ci ne se soit pas prononcée. C’est donc en appel du maire que le Conseil d’Etat statuera.

Quoi qu’il en soit, les élu-e-s du groupe Gignac J’y Vis demeurent solidaires de la majorité municipale. Il n’y a aucune ambigüité là-dessus, nos deux suppléants appelés à siéger en complément, le font volontiers afin de terminer notre mandat et les réalisations en cours, œuvrant ainsi pour nos concitoyens.

Quelle que soit la décision de la justice, nous sommes confiants quant à son issue. Elections ou pas, les gignacaises et les gignacais auront le dernier mot pour empêcher tout retour d’une droite qui a fait la démonstration de son incapacité à gérer la commune.

Alain CROCE

Président du groupe Gignac J'y Vis.

Marcos GONZALEZ

Secrétaire de section du PCF.

17:23 Écrit par poutargue dans localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

24 septembre 2012

LE NOUVEAU TRAITE EUROPEEN : Mobilisation des communistes gignacais.

Parce qu’il va frapper les peuples européens déjà durement touchés par la crise qui se répercute sur notre planète.

Parce que la démonstration est faite que les plans d’austérité imposés ne résolvent rien et que cela aurait du amener les dirigeants européens à s’interroger sur les politiques mises en œuvre.

Parce que sommet après sommet, cette politique d’austérité imposée aux peuples les soumet aux seules exigences des marchés.

Le PCF et le Front de Gauche, ses élu-e-s, n’approuveront pas ni le Traité, et ni que seul le parlement prenne la décision de livrer pieds et points liés notre pays aux décisions supra nationales, déssaisissant ainsi le peuple de son droit d’expression. Nous exigeons un référendum et la pétition proposée à cet effet rencontre un franc succès.

A Gignac La Nerthe, les communistes ont distribué samedi des tracts devant la Poste, discuté avec de nombreux gignacais, fait signer des dizaines de pétitions.

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Ce Traité a donc pour objectif la soumission aux marchés financiers, en instituant ainsi un « Mécanisme européen de stabilité » (MES), adopté par le parlement le 21 février 2012 sous Sarkozy.

En octobre, c’est le gouvernement Hollande – Ayrault qui propose la ratification du TSCG (Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire européenne).

Qui a-t-il de changé dans ce Traité ? Pas une seule ligne. Un « Pacte de croissance » présenté « comme une grande victoire » par Hollande alors qu’il n’a aucune valeur juridique contraignante. Les 120 milliards annoncés pour favoriser la croissance étaient déjà inscrits au Conseil du 30 janvier 2012 avec une mise en œuvre avant … juin 2012.

Il est FAUX de dire que les Etats et les collectivités locales seraient trop endettés à cause de la crise. Les déficits publics sont la conséquence de celle-ci et des choix politiques qui nous ont amené à la crise. Avant l’explosion de la crise financière, le déficit moyen des pays de la zone euro n’était que de 1,5% du PIB (produit intérieur brut). La dette publique a explosé  quand les Etats sont allés au « secours » des banques qui spéculaient. Cette dette publique renforcée par l’obligation faite aux Etats de recourir aux marchés financiers et non auprès de la Banque Centrale Européenne (BCE). La France paye ainsi 50 MILLIARDS D’INTERET aux banques cette année !

Prétendre que la France serait plus forte une fois le Traité ratifié, qu’on puisse obtenir que la BCE finance ensuite directement les Etats, alors que le Traité ratifie l’INTERDICTION, c’est tricher avec la réalité.

Agir pour changer l’Europe, pour sortir de l’austérité, sortir de la crise, c’est à l’ordre du jour.

Il faut par contre s'appuyer sur l'atout que représentent les hommes et les femmes qui ont assuré la défaite de la droite en mai dernier pour que se réalisent de VERITABLES CHANGEMENTS. C'est cela qui est à l’ordre du jour.

La manifestation à Paris du 30 septembre 2012 y contribuera.

A.C

 

 

17:30 Écrit par poutargue dans localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |

27 février 2011

S’OUVRIR SUR LA JEUNESSE, UN PARI D’AVENIR.

barbara2.jpgLa rencontre avec les jeunes de Gignac-La-Nerthe à laquelle je participais avec ma jeune suppléante Barbara Cros jeudi, a été riche d’éléments. Nous avons écouté diverses questions que se posent les jeunes de 2011. Entre fatalité, résignation et volonté de changement, voir de révolution vis-à vis de l’insupportable vécu dans la société d’aujourd’hui, des sentiments qui ont été vivement débattus. Ils s’interrogent sur le fait que leur génération (moins de 30 ans) est totalement précarisée, où le chacun pour soi l’emporte souvent hélas sur le tous ensemble. Bien sûr l’engagement des jeunes postiers de Marseille 02 a été évoqué, ce qui contredit la pensée dominante qui veut que « les jeunes se foutraient de tout et ne seraient plus capables d’action collective»… Pourquoi un tel recul sur les valeurs collectives, pourquoi à Gignac, ils ne se connaissent pas, ils n’ont pas la possibilité de se rencontrer. Ils vont chercher ailleurs réponses à leurs besoins de jeunes (Plan de Campagne pour le bowling, les cinémas, ou Martigues…) pareil pour les sorties entre copains, peu d’endroits à Gignac pour se retrouver autour d’un verre, même si la perspective d’un cyber-espace annoncé est attendu « pour voir » … Quels projets pour les jeunes, quelles initiatives ? Après presque deux heures de débat, y compris sur « le vote, à quoi ça sert ? », il a été convenu de se revoir dans un autre espace de rencontre en invitant plus largement des jeunes qui représentent à Gignac le quart de la population. L’avenir, c’est eux qui le feront, ne l’oublions pas.

Alain CROCE

14:47 Écrit par poutargue dans Alain a écrit, localité | Commentaires (0) | Lien permanent |  Facebook |