29 janvier 2013
GIGNAC. LA FOULE AU RENDEZ-VOUS DES VŒUX 2013.
Il y avait foule vendredi soir, à la cérémonie des vœux du maire et de son conseil municipal, pour la première fois, organisée au gymnase de la Viguière. Un pari osé, remplir cette grande salle beaucoup plus grande que l’Espace Pagnol en travaux actuellement. Certains disserteront sur les chiffres, comme d’habitude, selon la police, la presse ou les organisateurs…. En tout cas plusieurs centaines de participants. Ce qui est certain, cette foule là ne serait pas rentrée à l’Espace Pagnol. Preuve de l’intérêt de nos concitoyens de plus en plus nombreux chaque année, attentifs à la vie de notre municipalité, notamment depuis la tentative de « putsch avorté » de l’opposition de droite et des dissidents socialistes coalisés pour cet échec commun. Une soirée à la fois solennelle mais voulue sobre par notre municipalité. Pas de long discours, ni de longueur de films présentés. Du concret dans les réalisations exposées, un timing respecté, permettant au maire d’intervenir dans les meilleures conditions. Un intermède musical de grande qualité avec notre jeune et talentueuse chanteuse d’à peine 14 ans, qui n’en doutons pas, sera certainement dans l’avenir un authentique talent reconnu bien au-delà de notre commune. Un chèque d’un montant important remis aux responsables du Téléthon. Une touchante intervention du conseil municipal des enfants.
Un discours du maire très personnel, apprécié en grande partie…
Il avait été décidé de ne pas abreuver de chiffres (on aurait pu) les gignacaises et gignacais, ni de faire le tour du monde (comme François, celui du Vendée Globe) sur les évènements actuels.
Un bilan clair et net de la situation trouvée en 2008 et des résultats remarquables réalisés par la majorité municipale, par notre administration, dorénavant opérationnelle dans bien des domaines qui ont été élargis par l’apport de cadres dont l’absence de recrutement était préjudiciable.
Pas d’annonce fracassante pour les prochaines élections municipales. Pour l’heure, nous travaillons afin de terminer un mandat dont nous ferons le bilan en temps voulu.
Certains ont interrogé les élu-e-s de notre groupe Gignac J’y Vis, d’autres ne comprennent pas (opposition) et « se tapent la tête » selon leurs écrits sur le contenu du discours concernant un sujet pour lequel les avis sont différents, celui de la Méga-Métropole.
Pourtant c’est limpide ! Le conseil municipal de décembre 2012 a adopté la délibération par son vote, CONTRE LA METROPOLISATION telle que décrite dans l’avant projet du gouvernement, avec un contenu défavorable pour notre population à notre avis et celui des 105 maires de notre département toutes opinions politiques confondues. Le maire et les élu-e-s socialistes n’ont pas participé au vote, ce qui a permis son adoption par le reste du conseil. Ce qui n’empêche pas le maire Christian Amiraty de développer son point de vue en faveur de la Métropole, c’est ce qu’il a fait dans son discours personnel. C’est le débat…
Nous verrons dans les jours à venir sur ce sujet, l’évolution ou pas des positions gouvernementales.
Certains aussi nous ont fait part que le maire aurait pu aussi remercier publiquement les élu-e-s de notre groupe GJV pour le comportement qui a été et reste le notre, depuis la « crise municipale », respectueux des accords passés et du respect du programme électoral. C’est pourtant ce qui a évité de provoquer des élections anticipées. Peut-être sans doute… Il l’a fait dans les couloirs, n’y a-t-il pas pensé ? Nos concitoyens auront corrigé, ce n’est pas notre principale préoccupation.
LES IMPOTS VONT BAISSER POUR LA PREMIERE FOIS DEPUIS PLUS DE 20 ANS !
C’est certes la partie du discours la plus applaudie puisque le maire a précisé : « Je vais ainsi pour la première année commencer à alléger cet impôt pour le passer d’un taux de 23,21 % à un taux de 21,35 % ce qui représente 200 000 euros de prélèvement en moins sur vos comptes personnels. »
Là encore, les ex-élu-e-s auto-exclus, devenus les « invisibles » du conseil municipal, entretiennent la confusion sur les dates, les chiffres, le résultat de cette baisse que nous n’avons jamais cessé d’envisager une fois les finances de la commune redressées. C’est pareil sur l’état de la dette…
Comment un ex-directeur de cabinet devenu président de groupe peut-il ne pas savoir que le vote d’un budget pour 2013, c’est jusqu’à fin mars 2013 que l’on peut le voter ? Oui, effectivement nous allons voter cette baisse prévue sur les feuilles d’impôts de fin 2013. Le maire a-t-il annoncé auparavant une baisse de 8% ? C’est exact. Ce n’est pas ce qu’il a dit dans son discours ? Oui, mais le résultat sera le même que celui annoncé. Une baisse de deux points environ correspondra, selon les services, à moins 8% sur le résultat final de la somme à payer. CQFD.
Réjouissons-nous de cet état de fait qui pour nos concitoyens, par des temps difficiles, représente une lueur dans un ciel perturbé par les mesures d’austérité nationales.
Allez, disons le sans en rajouter, mais en savourant notre plaisir commun avec nos concitoyens présents à cette soirée (pour les absents, rendez-vous l’an prochain): ce fût une sacrée soirée réussie, de rencontres, d’échanges, de partage, conviviale.
Félicitations aux personnels et aux cadres, à tous ceux qui y ont contribué.
« A l’An que ven, se siam pas maï que segen pas men ! » (A l’année prochaine, si nous ne sommes pas plus, ne soyons pas moins).
Pour l'ensemble du groupe Gignac J’y Vis
Alain CROCE
Président du groupe
La Marseillaise dimanche 27 janvier 2013.pdf
La Provence mardi 29 janvier 2013.doc
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28 janvier 2013
Réforme des rythmes scolaires: l'école déstabilisée, les inégalités territoriales aggravées.
La réforme des rythmes scolaires fait l’objet d’oppositions massives : grève des enseignants du primaire, rejet des instances consultatives et opposition de nombreux maires.
Les rythmes peuvent être un élément permettant la réussite des élèves, mais seuls, ils ne peuvent lutter contre l’échec scolaire.
La réforme, telle qu’elle est prévue ne fera que déstabiliser l’école : elle manque de clarté sur ses visées et ses modalités d’application. Quant aux délais de mise en œuvre par les communes le mois supplémentaire accordé hier ne change rien : ils sont trop courts.
Ce débat a perdu de vue sa visée éducative pour se trouver arbitré et enfermé à l’aune des capacités financières des communes qui ont la charge de sa mise en œuvre.
De plus, cette réforme-là dénationalise l'éducation nationale en la transférant aux communes, d'où des inégalités territoriales. Le choix laissé aux maires entre mercredi et samedi matin est une étape pour que d'autres décisions scolaires soient municipales...
Le rôle du scolaire et du péri-scolaire n’est pas précisé. Des activités pédagogiques pourront être mises en place, mais le gouvernement ne dit pas au service de quel projet éducatif. Sa faible durée, 30 à 45 mn, en réduit la portée et pose la question du personnel encadrant. Et ce n’est certainement pas en assouplissant les normes d’encadrements, piste actuellement privilégiée, qu’un projet de qualité pourra être porté. Au contraire, cela nuit à la sécurité des enfants.
Sans périmètre précis, cette réforme va aggraver les inégalités territoriales face au service public de l’éducation nationale, que la droite a amplifié depuis 10 ans. Car si le coût de la réforme n’est pas précisément évalué, on sait qu’il sera trop important pour que les communes les plus pauvres puissent y faire face.
Comment pourront-elles prendre en charge ces nouvelles activités pédagogiques périscolaires ? Comment pourront-elles faire face à l’augmentation de la demande de transport scolaire, de cantine et de centre de loisirs découlant de la scolarité du mercredi matin ?
Le ministre Vincent Peillon répond par une dotation exceptionnelle de 250 millions d’euros dont le montant, largement insuffisant, sert davantage de moyen de pression pour une mise en œuvre rapide que de compensation des coûts. Cette aide n’est d’ailleurs attribuée qu’aux seules communes mettant en œuvre la réforme dès 2013, comme si l’augmentation des dépenses étaient liées à la seule mise en place de la réforme et n’étaient pas pérennes.
Il n’y a aucune urgence et il faut prendre le temps de faire une réforme au service de la réussite de tous les élèves, sur tout le territoire. C’est pourquoi, avec les sénateurs communistes et républicains, nous demandons au ministre : allez vous enfin réaffirmer le rôle de l’Etat dans l’éducation nationale en accordant une compensation financière de la totalité des coûts aux communes ?
Jean François SALES
Conseiller municipal Gignac La Nerthe
Délégué à l'Education et à la Restauration
Flash spécial 26 janvier : Rythmes scolaires : Le décret est paru, cliquer: http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/01/25...
15:22 Écrit par poutargue dans localité | Commentaires (0) | Lien permanent | Facebook |
26 janvier 2013
FEU VERT POUR LE TRAMWAY DU PAYS D’AUBAGNE (SUCCES DE LA MOBILISATION)
Feu vert pour le tramway du Pays d’Aubagne par infos-marseille
Depuis plusieurs mois, le dossier du tramway du Pays d’Aubagne et de l’Etoile semblait bloqué, suspendu à un bras de fer politique entre les pouvoirs publics et la communauté d’agglo particulièrement active dans son opposition au projet de Métropole conçu par legouvernement Ayrault.
Au terme d’une enquête publique bouclée en septembre et nantie de tous les avis favorables ad hoc, la communauté d’agglo n’arrivait pas à décrocher la signature du préfet pour la Déclaration d’Utilité Publique prélude à l’ouverture des travaux.
C’est finalement vendredi, en fin d’après midi que la situation a fini par se débloquer, une heure avant la cérémonie de vœux de l’agglo du Pays d’Aubagne et de l’Etoile permettant à sa présidente d’annoncer sous les applaudissements : « Nous avons été entendus. J’ai le plaisir de vous annoncer que le Premier ministre a demandé au Préfet de signer la DUP ».
« C’est incroyable commentait Magali Giovannangeli au micro d’Infos-Marseille.fr à l’issue de son discours. Ça fait partie des choses qui nous montrent à quel point il est important de se battre, de ne jamais se résigner. Et il était tout aussi important de ne pas céder, d’argumenter politiquement sur la finesse d’un projet et sa pertinence dans l’aire métropolitaine marseillaise ».
Dès la déclaration d’Utilité publique paraphée par le préfet, la communauté d’agglo pourra lancer les travaux. « Et à partir de là, sans jeu de mots facile, on pourra dire que le tramway est sur de bons rails ».
Par Michel Allione
"Engagé sur de bons rails"... Prolongeons la voie !
Cette information tombée hier du cabinet du 1er ministre est la preuve que rien n'est inéluctable, ni décidé d'avance. Pour peu que les populations s'en mêlent, comme c'est le cas sur le Pays d'Aubagne et de l'Etoile, une agglo qui rassemble des communes mobilisées qui ont massivement manifesté le 21 décembre contre le projet de Métropole a marche forcée et à diverses reprises y compris par référendum se sont prononcées démocratiquement en ce sens. Ce nouveau succés en matière de transport montre qu'il est possible de travailler à des coopérations métropolitaines sans pour autant se doter d'une srtucture centralisée. Un véritable syndicat mixte des transports qui fonctionne réellement peut y répondre. En tout cas, aprés ce succés, tout reste ouvert...
Alain CROCE
07:59 Écrit par poutargue | Commentaires (0) | Lien permanent | Facebook |
25 janvier 2013
IL "GARDE LE CAP" ET ESSUIE ENCORE UN ECHEC AU TRIBUNAL.
Décidemment, il a de la suite dans les idées, l'ex-président UMP "autoproclamé" (comme il le disait lui-même) de l'ex-groupe auto-exclu, de par son comportement fait de manigances et de calculs machiavéliques politiciens, ainsi nommé Gardons le Cap. Et il le garde bien !
Celui-ci n'a toujours pas digéré la décision du Conseil d'Etat du 23 octobre 2012, favorable au maire, suite à un tribunal administratif en référé toujours des mêmes, qui reconnaît dans les faits la légalité de l'actuel conseil municipal où siègent désormais 19 élu-e- s de la majorité (dont 8 de notre groupe), une de l'opposition, du fait de démissions programmées collectives, afin d'essayer d'organiser de nouvelles élections anticipées.
Repartant une nouvelle fois dans la contestation de la tenue des derniers conseils municipaux sans leur présence, et pour cause, l'alliance avec des dissidents ayant fait long feu, il a présenté une nouvelle requête auprés des juges du T.A (tribunal administratif), tentant ainsi de provoquer de nouvelles élections sans attendre (il n'en peut plus), celles programmées de mars 2014.
Où est l'intérêt de Gignac et des gignacais là-dedans ? A part de tenter de bloquer les réalisations en cours, de remettre en cause des décisions prises en faveur des citoyens, du personnel...
Une nouvelle fois, il a donc encore perdu, et avec lui ses amis, qui attendaient avidement une décision des juges qu'ils espéraient en leur faveur.
Hélas mon bon monsieur, à trop vouloir prouver, tel est pris qui croyait prendre. Le T.A a rejeté votre demande. Vous avez à nouveau perdu ! Notre commune a besoin de sérénité, d'opposition municipale, certainement, de critiques constructives bien sûr, c'est le jeu démocratique, mais pas de bassesses et autres complots dont les intérêts sont loin des besoins de nos concitoyens. Ceux-ci jugeront...
Alain CROCE
Conseiller municipal et communautaire
Président du groupe Gignac J'y Vis
Voir extraits du jugement:
10:48 Écrit par poutargue | Commentaires (0) | Lien permanent | Facebook |
La belle affaire du crédit d’impôt compétitivité.
Selon une étude publiée hier par les Échos, cette mesure, qui coûtera 20 milliards d’euros à l’État, profitera à de grands groupes qui affichent de copieux profits, ne sont pas forcément exposés à la concurrence, et qui sabrent dans l’emploi.
CICE : comment ça marche Voté dans la loi de finances rectificative fin 2012, le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi est censé concerner toutes les entreprises (mais pas, par exemple, les hôpitaux publics, qui ont protesté). Il constitue un crédit d’impôt égal à 4 % de leur masse salariale inférieure à 2,5 Smic en 2013. En 2014, il en représentera 6 %. Soit 20 milliards d’euros par an. Il sera financé par une hausse de la TVA et par 10 milliards d’économies sur les dépenses publiques. Les groupes publics en sont aussi bénéficiaires. En tête du classement fait hier par le journal les Échos, vient ainsi La Poste, qui bénéficiera de 270 millions d’euros au titre du Cice. Le groupe a réalisé en 2011 un bénéfice net de 478 millions d’euros. Et ces dix dernières années, selon un bilan syndical, il a supprimé quelque 80 000 emplois. Mérite-t-il une récompense fiscale ? Ou bien un contrôle digne de ce nom de l’usage qu’il fait de l’argent public ?
Dispositif vraiment favorable à l’emploi ? Ou bien prime aux entreprises qui dégraissent ? S’agit-il, comme le défend le premier ministre, d’« un plan pour l’investissement », d’un « appel vertueux à se relocaliser en France » ? Ou bien une bonne affaire mise à profit par les groupes pour satisfaire les attentes financières de leurs actionnaires ? Dès son adoption par le gouvernement, en novembre, le crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (Cice) avait soulevé de fortes interrogations. Rappelons qu’il va représenter un allégement de 20 milliards d’euros d’impôts. Une aide publique d’un montant sans précédent. Qui empochera le pactole ? Le journal les Échos publiait hier les résultats des calculs faits par les entreprises concernées ou par des analystes. Édifiants, ils sont de nature à légitimer et renforcer les critiques.
Au profit des secteurs peu exposés
Contrairement à l’argument souvent avancé selon lequel il s’agirait de soutenir les entreprises confrontées à la concurrence internationale, il apparaît que le Cice profitera à des secteurs peu exposés, telles la construction ou la grande distribution. Les géants du bâtiment Vinci, Bouygues et Eiffage figurent parmi les plus gros bénéficiaires, avec des enveloppes de Cice se situant entre 111 et 189 millions d’euros pour le premier, à 87 millions pour le second, et de 70 à 94 millions pour le troisième.
· Vinci a pourtant réalisé 1,9 milliard d’euros de bénéfices net en 2 011 et distribué un dividende en hausse.
· Bouygues affiche un profit à hauteur de 1,07 milliard d’euros
· Eiffage 263 millions.
« Les entreprises du BTP n’en croient pas leurs yeux ! Pour elles, c’est un pur effet d’aubaine, car il n’y a aucune chance qu’elles délocalisent leur activité », note un analyste.
Sanofi, 8,8 milliards d’euros de profits
Au-delà de ces groupes, on constate que nombre des heureux élus au Cice présentent un très bon état de santé financière et qu’ils ne se privent pas pour autant de tailler allègrement dans leurs effectifs. Alors qu’il persiste à vouloir fermer deux hauts-fourneaux à Florange, un choix peu probant en termes... d’investissement, ArcelorMittal encaissera 25 millions d’euros de Cice.
Un sommet est atteint dans le scandale avec le groupe pharmaceutique Sanofi. Grâce au Cice, le labo va pouvoir gonfler sa trésorerie de 47 millions d’euros, indiquent les Échos. Or, depuis des mois, il défraie la chronique pour avoir lancé un plan de restructuration qui pourrait entraîner la suppression de plus de 2000 emplois et qui prévoit, entre autres, la délocalisation en Inde de la production d’un vaccin. Dans le même temps, Sanofi, qui a réalisé 8,8 milliards d’euros de profits en 2011, affiche sans complexe sa volonté de régaler davantage ses actionnaires en portant les dividendes de 35 % à 50 % d’ici à 2014.
Sans discernement
C’est ce qui a conduit récemment la députée Front de gauche Jacqueline Fraysse à s’adresser au premier ministre. « On est en droit d’attendre (de l’État – NDLR) qu’il n’encourage pas ce genre de décisions, qu’il ne les accompagne pas par des aides publiques et des crédits d’impôts accordés sans discernement », écrit l’élue. Pour elle, il ne s’agit pas seulement, comme l’ont réclamé des députés socialistes, de conditionner le versement du futur crédit d’impôt à l’absence de suppressions d’emplois non justifiées par des réalités économiques, mais de demander des créations d’emplois en contrepartie du « versement de toute aide publique à une entreprise qui distribue des dividendes à ses actionnaires ». À tout le moins, l’étude publiée par les Échos devrait conduire à une remise en débat du Cice et accélérer une évaluation de l’ensemble des aides publiques (200 milliards d’euros environ) accordées aux entreprises.
09:24 Écrit par poutargue | Commentaires (0) | Lien permanent | Facebook |