Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

29 septembre 2016

LA PLACE DU PERE JEAN MENNESSON A ETE INAUGUREE A GIGNAC.

Beaucoup d'affluence ce samedi 24 septembre 2016 lors de l'inauguration de la place Jean Mennesson, curé de Gignac La Nerthe de 1988 à 2015. Ainsi la place de l'Eglise a été choisie par le conseil municipal à l'unanimité pour reconnaître une œuvre unanimement saluée au service de notre commune. Le père Jean était un homme de Paix, cultivé mais très simple. Il se rendait partout où les hommes et les femmes, jeunes et moins jeunes avaient besoin de lui. Il s'occupait autant de ceux qui croyaient au ciel que de ceux qui n'y croyaient pas. Il n'excluait personne, il rassemblait. Il avait reçu la médaille de la ville. Lors de ses obsèques, il avait fallu aménager un grand gymnase pour recevoir énormément de monde.

Le maire Christian Amiraty a rappelé son parcours pendant ces presque trente années à Gignac La Nerthe, mais aussi en même temps au Rove, puis à Ensuès ou Châteauneuf où il officiait parfois. Le curé actuel, le jeune père Henri De Menou qui lui a succédé, est intervenu également, traçant ses pas dans ceux de son prédécesseur.

Mme Marguerite Durand, sœur du père Jean, a remercier les services municipaux et la municipalité.

Elle a reçu, après que la plaque en marbre a été dévoilée, une plaque de rue aux couleurs de la ville avec le nom de la nouvelle place, en souvenir de cette journée particulière. Sur la place de la mairie, un buffet permettait aux participants de se rafraîchir. Une exposition de photos anciennes rappelant la place de l'Eglise au travers des siècles derniers a été particulièrement appréciée.

Alain CROCE

 

IMG_4045.JPG

 

      

IMG_4020.JPG      IMG_4003.JPG

 

IMG_4046.JPG      IMG_4067.JPG

Commentaires

Un immense merci pour ce magnifique hommage que notre cher Jean a tant mérité.

Il avait été mon aumônier à Martigues en tandem avec le père Maurice ROLLAND (qui avait retracé son parcours lors des obsèques), et il est devenu comme un membre de ma famille. Il savait tant trouver les mots qui réconfortent, comme quand j'ai perdu mon grand-père ou quand il est venu célébrer les obsèques de mon plus jeune oncle maternel. Il n'a pas hésité à venir en Pologne pour me marier en 2000, puis à baptiser ma fille l'année suivante à Martigues, avec Maurice. Et deux ans plus tard, toujours à Martigues, il devenait le parrain de mon fils, baptisé par Maurice.

Écrit par : Bruno PITAVY | 06 octobre 2016

Les commentaires sont fermés.